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QUAND LA SOUFFRANCE EST TROP GRANDE ET NE PERMET PLUS DE PORTER UNE ATTENTION A SON ENFANT 

Il peut arriver que la nature et l'intensité des troubles placent l'enfant dans un contexte d'insécurité voire de danger. Dans des situations extrêmes, le parent peut avoir des hallucinations ou des idées délirantes focalisées sur son(ses) enfant(s), à l’inverse il peut perdre temporairement conscience de la présence de son(ses) enfant(s). L'intention du parent n'est évidemment pas d'exposer son enfant au danger ou de lui porter préjudice, et c’est pourquoi, dans ces moments-là, il est primordial que l’(les) enfant(s) soi(en)t protégé(s). C’est de la responsabilité du parent mais également de toutes personnes témoins du danger.

L’intérêt supérieur de l’enfant prime et la mise sous protection de l’enfant, surtout si elle a pu se faire avec l’accord préalable du parent, permettra de protéger le lien, au-delà du temps de la crise.

« Le droit de l’enfant à avoir son intérêt supérieur pris en compte de façon primordiale »

Comité des droits de l’enfant des Nations Unies

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